(Gérard Berliner/Franck Thomas)
Je mettrai sur ma vie entière de la fumée de bar qui tombe
à terre
Des tonnes de cartons de verres de bière, de bière.
Entre le ciel et puis ma peau, j’glisserai un plan
d’Valparaiso.
C’est là qu’on noie l’chagrin en trop, en trop.
Pour t’oublier, pour t’oublier, pour t’oublier, pour
t’oublier.
Oh, pour t’oublier, pour t’oublier.
La rue qui remonte jusqu’à chez toi, j’me mettrai sur son
côté droit.
J’me laisserai rouler jusqu’en bas et un bateau m’emportera.
Pour t’oublier, pour t’oublier, pour t’oublier, pour
t’oublier.
Je mettrai sur ma vie entière de la fumée de bar qui tombe
à terre
Des tonnes de cartons de verres de bière
Pour t’oublier, t’oublier, t’oublier, t’oublier, t’oublier,
t’oublier.
Pour t’oublier, ce creux de toi où j’étais bien
De tes chevilles jusqu’à tes seins, je l’effacerai d’une
putain.
Pour t’oublier, t’oublier, t’oublier, t’oublier, t’oublier,
t’oublier.
Quand je voudrai vider ma mémoire, je brûlerai ta paire de
bas noirs
Que je portais comme un foulard
Pour t’oublier, t’oublier, t’oublier, t’oublier, t’oublier,
t’oublier.
Je mettrai sur ma vie entière de la fumée de bar qui tombe
à terre
Des tonnes de cartons de verres de bière
Pour t’oublier, t’oublier, t’oublier.
I cannot take this anymo-o-o-o-o-o-o-o-ore Saying everything I've said befo-o-o-o-o-o-o-o-ore All these words they make…
(Hey, you're really crazy... You know that?) I thought that I was calling up my…
I've been sucking morning Waiting for the beat I've been running circles Searching for the…