J’ai toujours vécu ici pourtant
Tel un étranger errant
Sur cette terre, esseulé,
En perpétuel détachment,
J’entends en moi l’appel d’un autre univers
Qui résonne amèrement.
Les yeux rivés vers le ciel,
Portant le fardeau de mon corps,
Je perçois ma demeure
Perdue dans le nuées.
Trop de pesanteur ici, de bras obstinés
Retenant les esprits voyageurs
Sur le point de s’échapper.
D’ici bas je perçois ma demeure,
Ses prairies éternelles
Perdues dans les nuées.
Là où naissent les couleurs nouvelles,
Là où coeur et mon àme sont restés.
I cannot take this anymo-o-o-o-o-o-o-o-ore Saying everything I've said befo-o-o-o-o-o-o-o-ore All these words they make…
(Hey, you're really crazy... You know that?) I thought that I was calling up my…
I've been sucking morning Waiting for the beat I've been running circles Searching for the…